Nature et Civisme
Parmi les multiples missions qui s’imposent constamment à la municipalité, apporter une considération croissante au respect du lieu de vie, à la nature et à l’environnement de notre commune rurale est essentiel.
Dans cette rubrique, nous reprenons donc ce qui constitue les règles de civisme essentielles au bien vivre ensemble, et nous invitons tous nos concitoyens à les appliquer, dans le respect de notre cadre de vie commun.
Ordures ménagères : trier plus pour recycler

- diminuer de 7 % les ordures ménagères à traiter,
- collecter 75 % des emballages mis sur le marché,
- atteindre 45 % de valorisation matière (recyclage) et organique (compost)
- et diminuer de 15 % l’incinération et l’enfouissement.
A Squiffiec, comme dans les communes voisines, des efforts ont porté sur la qualité de ce tri sélectif.
- Le document qui suit vous guide sur les objets qui peuvent être déposés dans les bacs jaunes (surtout n’y mettre aucun sac poubelle fermé).
- De la même façon, vous trouverez ici les informations sur l’ensemble de ce qui est à déposer la semaine suivante dans les bacs noirs (possibilité de les déposer dans des sacs noirs fermés, mais ces sacs ne peuvent être déposés à même le sol).
- Le verre, comme les grands matériaux, les déchets verts… peuvent être déposés en déchetteries.




Le tonnage de la collecte sélective augmente et les erreurs de tri également, entre les bacs jaunes et bacs marrons ou noirs (relevés au porte-à-porte, par les camions, une semaine sur deux).
Or, un mauvais tri se traduit par un coût supplémentaire pour l’habitant… En effet, une baisse de la qualité du tri induit des diminutions sur les soutiens financiers des organismes partenaires et cela a des conséquences sur l’ensemble de la population qui pourrait être impactée par la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères.
Accès aux déchetteries du secteur :
Où les Squiffiécois peuvent-ils aller déposer leurs déchets (verts ou autres...), en dehors des collectes de porte-à-porte?
A partir du bourg de Squiffiec, ils peuvent aller, au choix, soit :
- à la déchetterie de Plouëc du Trieux (cela représente 7 km et 10 mn de route) ;
- à la déchetterie de Pommerit-le-Vicomte (7km - 10 mn) ;
- à la déchetterie de Guingamp (10 km - 12 mn)
- ou à la déchetterie de Pluzunet (23 km - 27 mn).
Le bon sens en matière d’environnement est aussi de mesurer l’équivalent de consommation d’essence – et donc de pollution – pour se rendre en ce lieu de collecte… De toutes façons, tous ces déchets finissent au même lieu de retraitement : VALORYS.
J’élague, Tu élagues, Nous élaguons…

Le Printemps et l’été favorisent naturellement la pousse des arbres et des végétaux. Les plantations bordant les voies publiques doivent donc être entretenues par les propriétaires ou locataires qui ont l’obligation, à leurs frais, d’assurer un élagage régulier.

Une prise de conscience s’impose au plus vite : quand le laisser-aller des uns met la sécurité des autres en danger, cela ne passe plus ! Tout le monde doit comprendre que la vie en collectivité impose à chacun de se sentir responsable individuellement : C’est un comportement citoyen élémentaire ! Nous faisons donc d’abord appel à l’esprit civique des uns et des autres.
De plus, dans un esprit de solidarité active, les propriétaires qui sont dans l’incapacité de réaliser eux-mêmes l’élagage peuvent très aisément trouver des personnes aptes à effectuer le travail, à l’heure où le bois est de plus en plus recherché comme moyen de chauffage.
Dans l’éventualité où les situations les plus graves ne seraient pas solutionnées au terme d’une démarche amiable, M. le Maire, dans le cadre des pouvoirs de police qu’il détient aux termes de l’article L. 2212-2 du code général des collectivités territoriales, peut imposer aux riverains des voies de procéder à l’élagage ou à l’abattage des arbres de leur propriété menaçant de tomber sur les voies, dès lors que cela porte atteinte à la sûreté et la commodité du passage.
Enfin, le maire peut aussi, sur la base de l’article R. 116-2 du code de la voirie routière, punir d’une amende prévue pour les contraventions de cinquième classe ceux qui : « en l’absence d’autorisation, auront établi ou laissé croître des arbres ou haies à moins de deux mètres de la limite du domaine public routier ».
Nous n’imaginons pas un instant devoir recourir à des mesures. Alors, S’il vous plait, à vos tronçonneuses et à vos scies, car la sécurité publique n’attend pas… MERCI de votre ESPRIT CITOYEN.

Une végétation trop dense en bordure des routes et à proximité des réseaux téléphoniques ou électriques aériens crée de réelles nuisances tant pour les usagers de la route que pour les riverains.
Le nettoyage raisonné des bordures de routes deviendra une incontournable OBLIGATION, lorsque nos foyers seront desservis en HAUT DEBIT par la fibre aérienne, dont la texture filaire est bien plus fragile que celle du téléphone ou du réseau électrique.
Le balancement ou le poids d’une branche sur le réseau suffira à rompre le fil, entrainant pour tous de fâcheuses conséquences…
Une opération d’élagage demande néanmoins à certains propriétaires ou locataires de talus du temps ou des moyens qu’ils n’ont pas systématiquement, pour réaliser ces travaux.
Les propriétaires ou locataires peuvent s’inscrire en mairie, préciser les linéaires à nettoyer et s’engager à céder le produit des coupes aux personnes qui assureraient le travail.
La Mairie peut faire office de médiateur, recevoir les inscriptions des candidats élagueurs et les mettre en contact avec les propriétaires ou locataires des talus à élaguer.
Haie mitoyenne
Quelles sont les distances d’installation d’une haie voisine et la hauteur des thuyas autorisée ?
Il n’y a pas de distance prescrite pour les arbustes et arbrisseaux de toute espèce, plantés en espaliers le long d’un grillage séparatif, mais ils ne doivent pas dépasser le muret ou traverser le grillage. Et lorsque des thuyas trop hauts font de l’ombre sur les plates-bandes voisines, vous pouvez sectionner les parties envahissantes.
Sinon, la bonne distance est celle établie par les règlements existants ou par les usages reconnus. A défaut, la distance de plantation doit être de 0,50m pour les espèces ne dépassant pas les 2m ; la distance doit être de 2m pour les arbustes et surtout les arbres dépassant 2m, comme les résineux.
Sinon, la bonne distance est celle établie par les règlements existants ou par les usages reconnus. A défaut, la distance de plantation doit être de 0,50m pour les espèces ne dépassant pas les 2m ; la distance doit être de 2m pour les arbustes et surtout les arbres dépassant 2m, comme les résineux.
Les branchages dépassent :
Exemple de câbles pris dans la croissance des branches…

Qui est responsable ?

L’élagage est à la charge d’ERDF lorsque le réseau électrique (branchement exclu) est sur votre propriété ou location. Alors ERDF assure l’élagage de la végétation située à proximité de la ligne, pour assurer en permanence le respect des distances de sécurité.
La gestion des bruits de bricolage

…Nous vous redonnons ici la règle à respecter, pour la quiétude du voisinage.

• Les jours ouvrables, de 8h30 à 12h00 puis de 13h30 à 19h30.
• Les samedis, de 9h00 à 12h00 puis de 15h00 à 19h00.
• Les dimanches, de 10h00 à 12h00.
• Les jours fériés, de 10h00 à 12h00.
(Par arrêté Préfectoral).
Feux domestiques : réglementation en vigueur

Chaque année, près d'un million de tonnes de branches, résidus de tonte et feuilles partent en fumée… Pourtant les impacts sanitaires et environnementaux sont démontrés ! Par exemple, brûler 50 kg de végétaux à l'air libre émet autant de particules fines qu'une voiture diesel récente qui parcourt 13 000 km…
L’article 84 du règlement Sanitaire Départemental des Côtes d’Armor précise dans son troisième paragraphe que : « le brûlage à l’air libre des ordures ménagères est interdit ».

Broyage, paillage, compostage, valorisation énergétique : les alternatives au brûlage valorisent cette ressource et se développent dans les territoires. A défaut, ils sont dans l’obligation, comme pour les déchets ménagers, de les traiter via une déchetterie.
Le déchet vert est une ressource à ne pas gaspiller. Améliorer la qualité de l'air tout en favorisant une économie circulaire : c’est un enjeu de société, pour tous !
Un arrêté préfectoral interdit strictement de brûler à l’air libre les déchets verts sous toutes leurs formes (tonte de pelouse - feuilles mortes - élagage - épluchures. etc.…) ainsi que les déchets ménagers.
Les déchets verts doivent être impérativement déposés dans la déchèterie la plus proche, soit à Plouëc-du-Trieux. Si vous disposez de place, ils peuvent être aussi utilisés à la maison pour faire du compost et représentent un excellent paillage pour vos plantations et parterres.
La règle vaut également pour TOUS les déchets ménagers. Notre commune bénéficie d’une collecte sélective performante et bien organisée. Le ramassage se fait chaque semaine par alternance. Rien ne justifie donc un brûlage sauvage dans les jardins !
Plan local de désherbage : objectif ZERO phyto !

La contamination des eaux bretonnes par les pesticides est une problématique qui n’échappe pas aux rivières des bassins versants du Trieux et du Jaudy. Sur ce dossier, les responsabilités sont partagées : collectivités, particuliers, agriculteurs, industriels … et la loi s’applique à tout le monde…
L’un des objectifs des programmes d’actions engagés par le SMEGA (Syndicat Mixte Environnemental du Goëlo et de l'Argoat), avec le concours financier de l’Europe, l’Agence de l’Eau Loire Bretagne, le Conseil Régional et le Conseil Général 22, est de réduire de façon significative les pollutions d’origine phytosanitaire, et pour cela d’inciter chacun des acteurs utilisateurs de produits phytosanitaires à s’engager dans cette démarche.
Le plan de désherbage communal, est l’un des volets mis en place pour l’accompagnement des communes.
Il répond à plusieurs objectifs : Réduire de façon significative des risques de pollution par les pesticides en limitant au maximum le désherbage chimique et utiliser les techniques alternatives de désherbage (désherbage thermique, désherbage manuel, balayage…). Ce plan de désherbage communal est un outil indispensable, qui définit les bonnes pratiques à mettre en œuvre et adaptées au risque. Il permet aussi de classer les zones à désherber selon le risque de transfert des produits phytosanitaires : les zones à risque élevé de transfert (surfaces à proximité de l’eau, surfaces imperméables et surfaces à fortes pentes) et les zones à risque réduit (surfaces planes et perméables).
L’interdiction aux particuliers de l’utilisation des produits phytosanitaires, depuis le 1er janvier 2019, implique donc de trouver de nouveaux moyens de désherbage. Cette nouvelle loi impacte au quotidien dans la lutte contre les adventices, communément appelés les « mauvaises herbes ». Il va désormais apprendre à accepter la présence des adventices et apprendre à vivre en leur compagnie. C’est un changement de mentalité et cela force à l’adoption d’un autre rapport avec la nature qui nous entoure.

Une provocation à l’égard des jardiniers attachés à des espaces parfaitement entretenus et admirablement soignés ? Non… Nous devons désormais nous habituer à voir des « mauvaises herbes », sur nos trottoirs et autres espaces publics : Pourquoi ? Elles sont la preuve visible qu’aucun produit chimique n’a été utilisé pour tenter de les détruire.
Le binage manuel est certes un mode de traitement admis et écologique ! Chacun comprend, de façon réaliste, qu’aucune commune ne peut s’autoriser financièrement à employer une personne à cette tâche, pour couvrir tous les espaces susceptibles d’être « désherbés ».
Peut-être peut-on alors souhaiter la participation écocitoyenne de chacun ? Il est possible aux riverains d’un trottoir trop enherbé à leur goût de le nettoyer et de détruire écologiquement les plantes en question.
Vous trouverez toutes sortes de conseils sur le site www.jardiner-autrement.fr
Le frelon asiatique : une nouvelle espèce invasive en Bretagne

Le frelon asiatique s’est introduit en France, via des transports de containeurs venus de Chine. Suite à la découverte d’un premier frelon asiatique à St Malo (2009), puis dans les Côtes d’Armor (septembre 2010), une surveillance est désormais mise en place, par l’intermédiaire du FGDON (Fédération départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisibles, au site suivant : fredon-bretagne.com).
La sous-espèce présente en France, Vespa velutina nigrithorax, est facilement distinguable du frelon européen, par sa taille et sa couleur caractéristique. L’adulte mesure environ 30 mm de long ; son thorax est brun foncé et son abdomen présente des segments abdominaux noirs, bordés d’une fine bande jaune. Seul le 4e segment de l’abdomen porte une large bande jaune orangé.
Pour apprendre à le reconnaître et avoir plus de précisions sur leur dangerosité, vous pouvez consulter le site http://www.frelon-asiatique.com .
Est-il dangereux ? Sa piqûre est équivalente à celle de son cousin européen, mais il peut attaquer en nombre et là, le danger est extrême ! Le souci est qu’il se montre aussi très agressif à l’égard de toutes sortes d’insectes et principalement les colonies d’abeilles, dont il se nourrit, détruisant ainsi des ruchers entiers. Le frelon se positionne devant les ruches pour capturer et se nourrir des butineuses. Les frelons asiatiques sont aussi très bien connus pour leur agressivité à l’égard des humains, car ils n’hésitent pas à attaquer et provoquent de vives réactions par leurs piqûres . En cas de piqures multiples, des cas d’hospitalisations et parfois de situations graves font tristement l’actualité. Il est donc conseillé d’agir collectivement face à cette menace. Mais ATTENTION ! En présence d’un nid, ne jamais entreprendre de le détruire seul. Cette démarche extrêmement dangereuse doit être réalisée par un professionnel équipé du matériel qui le met à l’abri de toute piqure.

La conséquence directe est donc la raréfaction des pollinisateurs et en cascade des oiseaux, se nourrissant traditionnellement de tous ces insectes, qui disparaissent du fait de l’appétit des colonies de frelons asiatiques.
Destruction des nids de frelons asiatiques :
Alors, que faire après la détection du frelon asiatique ? Le signalement est impératif ! Qui contacter ?
Vous pouvez vous adresser en mairie, qui avisera de la démarche à suivre, en fonction de l’emplacement et de la taille du nid.
Pour lutter contre ce fléau, nous recommandons à tous les Squiffiécois d’identifier les lieux où ils ont installés leurs nids et de procéder à leur destruction.
A ces fins, la municipalité a voté la somme de 25 € d’aide, lorsqu’un particulier fait directement la demande d’intervention à un spécialiste en désinsectisation (sur facture, sachant qu’une intervention avoisine les 95 €). Mais elle peut aussi intervenir directement, lorsque le nid est très facilement accessible.
Dans cet autre cas, la municipalité ne demande au particulier que le remboursement de la bombe insecticide employée, lors de l’intervention (coût fixé à 25€).
Vous pouvez vous adresser en mairie, qui avisera de la démarche à suivre, en fonction de l’emplacement et de la taille du nid.
Pour lutter contre ce fléau, nous recommandons à tous les Squiffiécois d’identifier les lieux où ils ont installés leurs nids et de procéder à leur destruction.
A ces fins, la municipalité a voté la somme de 25 € d’aide, lorsqu’un particulier fait directement la demande d’intervention à un spécialiste en désinsectisation (sur facture, sachant qu’une intervention avoisine les 95 €). Mais elle peut aussi intervenir directement, lorsque le nid est très facilement accessible.
Dans cet autre cas, la municipalité ne demande au particulier que le remboursement de la bombe insecticide employée, lors de l’intervention (coût fixé à 25€).
En début 2023, l’acquisition de pièges sélectifs (permettant de ne supprimer que les frelons asiatiques) par la commune a permis leur distribution aux particuliers qui s’engagent à capturer les potentielles reines, afin de limiter ensuite la prolifération des nids et donc des nuisances.
Le résultat de cet inventaire, validée par l’assemblée municipale, sous forme cartographique, est consultable en mairie.
Les zones humides sont classées en zones non constructibles dans le PLUI, afin d’être protégées. La culture n’est pas interdite sur les zones humides. Les plans d’épandage ne seront pas remis en question, dans la mesure où ils sont déjà censés tenir compte des cours d’eau et de l’hydromorphie des sols selon les mêmes critères. La réglementation sur les zones humides et les cours d’eau s’applique déjà sur ces espaces. Les inventaires permettent surtout de clarifier la localisation des zones humides et de les fixer dans un schéma cartographique bien identifié.
Le résultat est consultable sur le site de Bretagne-environnement
Si son PTAC (poids total autorisé en charge) est inférieur ou égal à 3,5 T, sa conduite est alors permise, sous réserve que le PTAC de la remorque soit inférieur ou égal à 750 kg. Idem si le chargement total (PTAC de la remorque + PTAC du tracteur) n’excède pas 3,5 T et que le poids de la remorque ne soit pas supérieur à celui du tracteur.
Au-delà, un permis E(B) est obligatoire. L’obtention du permis E(B) nécessite une formation dispensée par les auto-écoles. L’examen comprend une visite, un test de maniabilité (notamment conduire 100 m en marche arrière et réussir un slalom), l’attelage et le dételage, ainsi qu’une épreuve de circulation. Avec ce permis, vous serez soumis à une visite médicale quinquennale.
Depuis quelques années, des talus ressortent de terre, dans certaines bordures de champs. Il peut paraître étonnant de voir ces derniers renaître, après avoir été très longtemps sacrifiés. Pourtant nous sommes là à l’avant-garde d’un mouvement de reconquête de la qualité de l’eau, car ces talus retiennent les particules qui jusque là partaient par le simple ruissellement, vers les cours d’eau suivant les pentes. Les talus sont aussi replantés, ce qui peut aider au repeuplement de petits animaux, mais aussi à reconstituer les haies bocagères, fournissant plus tard du bois de chauffage. Tout est mesuré pour avoir des effets bénéfiques au niveau environnemental.
L’organisme qui a décidé ce coordonner ces efforts est le SMEGA (Syndicat Mixte Environnement Goëlo Argoat), avec le soutien actif des agriculteurs des communes du bassin versant du Trieux. Ces agriculteurs sont investis dans cette démarche, et à Squiffiec, ils sont six exploitants à avoir franchi le pas. Ainsi, ce n’est pas moins de 2 380 mètres de talutage et plantations qui seront effectués. L’utile étant allié à l’agréable, ce projet a aussi pour objectif de reconstituer le paysage typique de notre région : le bocage breton.
La Commune rappelle aux propriétaires que la divagation ou les aboiements intempestifs de chiens provoquent des gênes permanentes à de nombreux citoyens. Il est donc demandé à ces personnes de prendre toutes dispositions qui s'imposent, pour éviter ces désagréments à l'ordre public.
Des chiens en divagation c’est dangereux pour tous : Autant pour ces petits animaux, qui risquent gros à traverser sans se préoccuper de la circulation, que pour les usagers à vélo ou en voiture, qui peuvent être surpris de leur présence sur la chaussée et donner un coup guidon ou de volant brutal…
La gendarmerie peut dresser un Procès Verbal à toute personne peu respectueuse des règles élémentaires de citoyenneté. Les chiens errants, dont certains sont classés dangereux, présentant des signes d'agressivité seront remis à Chenil Service et repris par leur propriétaire, moyennant une amende.
Mais d’autres problèmes se posent aussi, tels des questions d’hygiène… Certains propriétaires sortent en effet leur animal de compagnie, pour qu’il fasse ses besoins sur la pelouse derrière la mairie. En soi, ce n’est pas interdit, mais le problème est que cet espace sert aussi très souvent de terrain de sport pour les élèves des écoles… Et faire des galipettes dans l’herbe, pour atterrir sur une crotte de chien, c’est loin d’être agréable, aux dires des professeurs des écoles ! Nous sommes entièrement d’accord…
Alors, où aller avec son chien pour ses besoins ? Tout simplement dans un coin de campagne, ce qui ne manque pas, aux différentes sorties de la commune. Il est aussi possible de ramasser les besoins dès qu’ils sont faits, ou plus simplement de laisser son compagnon à quatre pattes faire librement ses besoins sur sa propre pelouse, si vous disposez d’un peu de place…
Inventaire des zones humides protégées

Depuis 2011, dans le cadre d’une politique favorisant la reconquête de la qualité de l’eau et la préservation des milieux naturels sensibles, l’Etat exige que les zones humides soient recensées et prises en compte dans les documents d’urbanisme. La commune, avec le concours technique du SMEGA, a réalisé l’inventaire des zones humides et des cours d’eau sur notre territoire.
Une commission, présidée par Pascal GOURIOU, composée d’agriculteurs et de techniciens du SMEGA (Syndicat Mixte Environnemental Goëlo - Argoat) a effectué le recensement de ces zones humides. A partir d’un travail de terrain et de rencontres avec les propriétaires, les acteurs ont répertorié et inventorié les cours d’eau et les espaces susceptibles d’être classés en « zones humides».
Le résultat de cet inventaire, validée par l’assemblée municipale, sous forme cartographique, est consultable en mairie.
Les zones humides sont classées en zones non constructibles dans le PLUI, afin d’être protégées. La culture n’est pas interdite sur les zones humides. Les plans d’épandage ne seront pas remis en question, dans la mesure où ils sont déjà censés tenir compte des cours d’eau et de l’hydromorphie des sols selon les mêmes critères. La réglementation sur les zones humides et les cours d’eau s’applique déjà sur ces espaces. Les inventaires permettent surtout de clarifier la localisation des zones humides et de les fixer dans un schéma cartographique bien identifié.
Le résultat est consultable sur le site de Bretagne-environnement
Tracteur et permis de conduire
Si vous voulez conduire un tracteur, il vous faut un permis B.
Si son PTAC (poids total autorisé en charge) est inférieur ou égal à 3,5 T, sa conduite est alors permise, sous réserve que le PTAC de la remorque soit inférieur ou égal à 750 kg. Idem si le chargement total (PTAC de la remorque + PTAC du tracteur) n’excède pas 3,5 T et que le poids de la remorque ne soit pas supérieur à celui du tracteur.
Au-delà, un permis E(B) est obligatoire. L’obtention du permis E(B) nécessite une formation dispensée par les auto-écoles. L’examen comprend une visite, un test de maniabilité (notamment conduire 100 m en marche arrière et réussir un slalom), l’attelage et le dételage, ainsi qu’une épreuve de circulation. Avec ce permis, vous serez soumis à une visite médicale quinquennale.
La règlementation des convois agricoles : (extrait de la Lettre de la Sécurité Routière en Côtes d’Armor)


Réhabilitation du bocage

L’organisme qui a décidé ce coordonner ces efforts est le SMEGA (Syndicat Mixte Environnement Goëlo Argoat), avec le soutien actif des agriculteurs des communes du bassin versant du Trieux. Ces agriculteurs sont investis dans cette démarche, et à Squiffiec, ils sont six exploitants à avoir franchi le pas. Ainsi, ce n’est pas moins de 2 380 mètres de talutage et plantations qui seront effectués. L’utile étant allié à l’agréable, ce projet a aussi pour objectif de reconstituer le paysage typique de notre région : le bocage breton.
Chiens en promenade

Des chiens en divagation c’est dangereux pour tous : Autant pour ces petits animaux, qui risquent gros à traverser sans se préoccuper de la circulation, que pour les usagers à vélo ou en voiture, qui peuvent être surpris de leur présence sur la chaussée et donner un coup guidon ou de volant brutal…
La gendarmerie peut dresser un Procès Verbal à toute personne peu respectueuse des règles élémentaires de citoyenneté. Les chiens errants, dont certains sont classés dangereux, présentant des signes d'agressivité seront remis à Chenil Service et repris par leur propriétaire, moyennant une amende.
Mais d’autres problèmes se posent aussi, tels des questions d’hygiène… Certains propriétaires sortent en effet leur animal de compagnie, pour qu’il fasse ses besoins sur la pelouse derrière la mairie. En soi, ce n’est pas interdit, mais le problème est que cet espace sert aussi très souvent de terrain de sport pour les élèves des écoles… Et faire des galipettes dans l’herbe, pour atterrir sur une crotte de chien, c’est loin d’être agréable, aux dires des professeurs des écoles ! Nous sommes entièrement d’accord…
Alors, où aller avec son chien pour ses besoins ? Tout simplement dans un coin de campagne, ce qui ne manque pas, aux différentes sorties de la commune. Il est aussi possible de ramasser les besoins dès qu’ils sont faits, ou plus simplement de laisser son compagnon à quatre pattes faire librement ses besoins sur sa propre pelouse, si vous disposez d’un peu de place…